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L’ITC vise à améliorer la qualité et la quantité de fruits et légumes exportés par les pays en développement. En ce sens, nous créons des plans de développement stratégique définissant le statut du marché des fruits et légumes dans un pays, et expliquons comment relever les défis pour atteindre un objectif d’exportation. Ceci implique de travailler avec les fermiers, les exportateurs, les importateurs, les institutions d’appui au commerce et les responsables politiques, et de leur fournir formations et conseils.
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Le Guide l’exportateur de café (en) de l’ITC est la source d’information la plus complète au monde sur tous les aspects du commerce international du café. Les sujets couverts comprennent les statistiques de production et de vente, les contrats, la logistique, le commerce électronique, le futur, les couvertures d’assurances, les problèmes de qualité, les certifications, les aspects sociaux, les changements environnementaux et climatiques. Le guide est accessible en ligne, gratuitement.
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Les prix des exportations de cacao sont élevés depuis 2002, en comparaison avec les prix de la plupart des autres produits agricoles des pays en développement. Ceci explique en partie pourquoi l’ITC n’a eu que peu de petits projets dans le secteur du cacao durant ces dernières années.
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Le secteur du coton fournit des revenus pour des millions de personnes en Afrique, surtout pour celles vivant dans les régions rurales, et représente une source importante de recettes en devises. Les efforts de l’ITC dans ce secteur visent à renforcer le rôle de l’Afrique dans le commerce international du coton. Stimuler la compétitivité de ceux qui travaillent dans ce secteur en est un aspect essentiel, de même que la création de liens plus solides avec les importateurs de coton, surtout ceux situés en Asie.
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Le jute et les autres fibres dures pourraient faire un retour sur les marchés mondiaux, en réponse aux augmentations des prix du pétrole, qui affectent la compétitivité des jutes synthétiques de substitution. Cependant, afin de profiter de l’avantage offert par cette opportunité, les producteurs et les manufacturiers doivent produire des fibres de plus haute qualité et augmenter leur production.
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Le marché mondial d’importation des épices et herbes de cuisine est vaste, et représente environ 4 milliards de dollars américains. Les pays les moins avancés comme les Comores, Madagascar et la République-Unie de Tanzanie, tirent une part substantielle de leurs revenus en devises des exportations des épices.
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Les plantes et extraits médicinaux sont des produits de plus en plus exportés par de nombreux pays en développement. Avec le vieillissement des populations et des préférences accrues de la part des consommateurs pour des produits de santé naturels, les plantes médicinales représentent une niche que les exportateurs de nombreux pays les moins avancés cherchent à développer en vue d’une production et d’exportations commerciales durables.
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Les fleurs coupées et les jeunes plantes ornementales sont des produits d’exportations importants pour de nombreux pays en développement en Afrique de l’Est, en Amérique du Sud et Amérique Centrale, ainsi que dans le Moyen Orient. La consommation est à la hausse, principalement sur les marchés émergeants comme la Chine, l’Inde, la Fédération de Russie, l’Asie de l’Est et l’Europe de l’Est. La demande sur les marchés traditionnels du Japon, de l’Amérique du Nord et de l’Europe Occidentale est également en augmentation, de manière plus lente. Le blog de l’ITC sur la floriculture est une mine de renseignements sur les tendances actuelles de ce secteur.
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Les huiles essentielles sont du matériau brut de sources botaniques, utilisées dans l’industrie du goût et des parfums. Les oléorésines sont des résines à partir desquelles des huiles essentielles hautement concentrées peuvent être dérivées. La croissance récente de l’industrie de l’aromathérapie a ouvert un créneau de marché nouveau et important pour ces huiles complètes.